Les Éduts

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Les Éduts
Les Éduts
Le château d'eau, le bâtiment le plus haut de la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saint-Jean-d'Angély
Intercommunalité Vals de Saintonge Communauté
Maire
Mandat
Françoise Guéret
2020-2026
Code postal 17510
Code commune 17149
Démographie
Gentilé Edutois
Population
municipale
58 hab. (2021 en diminution de 13,43 % par rapport à 2015)
Densité 7,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 32″ nord, 0° 12′ 55″ ouest
Altitude Min. 105 m
Max. 156 m
Superficie 8,05 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matha
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web les-eduts.fr

Les Éduts est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Édutois[1].

Cette très petite commune a comme particularité de posséder le plus haut village perché de toute la Charente-Maritime.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le plus haut village de la Charente-Maritime[modifier | modifier le code]

La petite commune des Éduts, qui appartient au canton de Matha, est située entre deux collines élevées dont l'une culmine à 156 alors que le bourg se trouve sur l'autre colline. Le village des Éduts a la particularité d'être le village le plus élevé de la Charente-Maritime, où il occupe le sommet d'un coteau de 145 de hauteur. Celui-ci se trouve à proximité du point culminant du département situé dans la commune voisine de Contré.

La commune appartient géographiquement aux premières hauteurs de la partie méridionale du seuil du Poitou où le relief se relève assez brusquement dans le nord-est de la Charente-Maritime. Par son altimétrie moyenne, la commune des Éduts fait partie des quatre communes les plus élevées de la Charente-Maritime où aucun point de son territoire communal n'est inférieur à 100 mètres d'altitude comme pour les communes voisines de Saleignes, Vinax et Romazières.

Un site de causse[modifier | modifier le code]

Située géologiquement sur les terrains du Jurassique supérieur, la commune a un sol argilo-calcaire qui présente les caractéristiques communes des terres de groie.

Si aucun cours d'eau n'est référencé par le Sandre dans la commune, le sous-sol karstique présente des allures de causse avec des problèmes d'asséchement chronique des terrains en été. Mais bien amendés et fertilisés, ces sols donnent de bonnes terres à céréales où les productions locales sont stockées dans le puissant silo de la commune voisine de Saleignes. Un paysage d'openfield, de formation récente, caractérise aujourd'hui le finage communal des Éduts dans sa partie centrale qui a été fortement défrichée au détriment des vastes forêts alentour.

Une commune boisée[modifier | modifier le code]

Un tiers environ de la commune est constitué de bois et de forêts où ces dernières sont des morceaux détachés des grands massifs forestiers domaniaux des forêts d'Aulnay et de Chef-Boutonne.

Dans les parties orientales de la commune, quelques bois épars sont encore présents et sont des morceaux détachés de la vaste forêt d'Aulnay qui, au Moyen Âge, s'étendait beaucoup plus au sud du territoire communal.

C'est surtout dans le nord que prédominent les bois sur les terrains les plus montueux et les plus secs portant principalement des chênaies. Celles-ci forment la Foye de Saint-Jean qui est une fraction de forêt isolée dépendant de la forêt domaniale d'Aulnay composée également du Bois de Chantemerlière qui se situe plus au nord, au-delà de la limite communale[Note 1]. Cette forêt était originellement une hêtraie comme son toponyme l'indique clairement et devait certainement appartenir à l'ancienne abbaye de Saint-Jean-d'Angély qui possédait de nombreux bois et fiefs dans les paroisses de la vicomté d'Aulnay. Le GRP de la Sylve d'Argenson, grand circuit de randonnée pédestre, la traverse d'est en ouest.

Aux portes du village perché des Éduts se profile la forêt de Fontaine dont une importante fraction occupe toute la partie méridionale de la commune. Cette chênaie, qui est aujourd'hui une dépendance domaniale de la Forêt de Chef-Boutonne, prolonge au nord la forêt de Fontaine qui s'étend sur une grande partie de la commune voisine de Fontaine-Chalendray.

Localisation[modifier | modifier le code]

Les Éduts se trouve à 13 km à l'est d'Aulnay-de-Saintonge, chef-lieu du canton le plus étendu de la Charente-Maritime, et à 33 km à l'est de Saint-Jean-d'Angély, chef-lieu d'arrondissement de la Charente-Maritime et principale ville de la Saintonge du Nord.

Le bourg le plus proche et le plus important par son équipement en services de première nécessité est celui de Néré. Cet ancien chef-lieu de canton auquel appartenait Les Éduts est situé à seulement 2,5 km au sud-ouest, sur la D 131, route départementale qui relie Néré à Chef-Boutonne.

La ville des Deux-Sèvres la plus proche est Chef-Boutonne qui est également un chef-lieu de canton, lequel est situé à 25 km au nord-est directement par la D 131.

La ville la plus proche en Charente est Ruffec qui se situe à 33 km à l'ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Toute la commune des Éduts est sise dans le département de la Charente-Maritime bien que le département voisin des Deux-Sèvres soit très proche que séparent au nord-est et à l'est les petites communes forestières et céréalières de Saleignes et de Romazières.

Au nord du village des Éduts, le Bois de Chantemerlière qui s'étend sur plusieurs centaines d'hectares occupe un plateau élevé et karstique et sépare la commune du village forestier de Vinax.

À l'ouest, s'étend la vaste commune de Néré qui englobe les petits villages de Chez Naudin et de Paradis, autrefois dépendances de l'ancienne paroisse poitevine des Éduts. Elle l'enserre également au sud.

Communes limitrophes des Éduts[2]
Vinax Saleignes
des Éduts[2] Romazières
Néré

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Éduts est une commune rurale[Note 2],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,2 %), forêts (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune des Éduts est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Bramerit. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[11],[9].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Éduts.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[12].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 2,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 42 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[14].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

En 2021, la commune comptait 58 habitants[Note 3], en diminution de 13,43 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
237150159167172161156159153
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
132120114118131110118100127
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1101011101039690819980
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
718370818264666667
2018 2021 - - - - - - -
5958-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les Éduts fait partie des communes les moins peuplées du canton d'Aulnay auxquelles s'ajoutent Romazières, Saleignes et Vinax, qui ont toutes le trait commun de compter moins de 100 habitants.

Cette petite commune rurale, comme beaucoup dans cette partie du nord-est de la Charente-Maritime, appartient à ces zones rurales en voie de désertification où le problème démographique est particulièrement préoccupant. Lors du recensement de 2007, Les Éduts comptait 66 habitants. À son apogée dans le premier tiers du XIXe siècle, au début de la monarchie de Juillet, elle en comptait presque le triple, 172 en 1831. Mais l'accélération de la dépopulation de la commune a été impressionnante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, où Les Éduts a perdu plus d'un tiers de sa population en un demi-siècle seulement, passant de 99 habitants en 1946 à 64 habitants en 1999.

Aujourd’hui la densité est nettement inférieure à 10 hab./km2 (8 hab./km2 en 2007), ce qui en fait une des communes les moins densément peuplées de la Charente-Maritime.

Toponyme[modifier | modifier le code]

Le site perché du village justifie son toponyme. C'était en effet un lieu de refuge très recherché pendant les périodes troublées du Moyen Âge, de l'ancien français esduit qui signifie refuge[20]. Ce toponyme daterait du XIIIe siècle[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dépendant de l'ancienne province du Poitou[21], le petit village des Éduts aurait été créé non seulement en raison de son site élevé permettant d'assurer la protection de ses habitants dans les temps d'insécurité mais également par la présence d'un petit édifice religieux, probablement un monastère[20]. Sur le site perché du village, une petite église romane a été édifiée au XIIe siècle et est de fait l'église la plus élevée de tout le département de la Charente-Maritime[21].

La commune des Éduts était plus étendue qu'elle ne l'est actuellement. Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, la paroisse des Éduts comptait trois autres villages dont, au nord, ceux de Chez-Naudin et Paradis qui ont été rattachés à Néré en 1790 lors de la création des communes et du département[21]. De 1790 à 1800, la commune des Éduts faisait partie du canton de Néré.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 En cours Françoise Guéret SE Retraitée Fonction publique

Canton[modifier | modifier le code]

La commune des Éduts appartient depuis au canton de Matha, après avoir longtemps dépendu du canton d'Aulnay.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune adhéra de 1994 à 2013 à la communauté de communes du canton d'Aulnay-de-Saintonge dont le siège administratif était situé à Aulnay-de-Saintonge. Depuis le , la commune adhère à la Communauté de communes des Vals de Saintonge qui regroupe les communes du nord-est de la Charente-Maritime et dont le siège se trouve à Saint-Jean-d'Angély.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Révérend.

L'église Saint-Révérend[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Révérend date du XIIe siècle et a été remaniée au XIIIe siècle, puis au XVe siècle. Cette ancienne église romane, fort modeste dans son architecture, possède une façade avec modillons à voussures, un portail d'entrée en plein cintre, une corniche et un pignon-clocher. Sa particularité est qu'elle est l'édifice religieux le plus haut perché de la Charente-Maritime, étant située à 145 mètres de hauteur.

Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis le 23 juillet 1973[22].

Le puits de la rue de l'École[modifier | modifier le code]

Le puits de la rue de l'École date du XIXe siècle, fort probablement de l'époque de la monarchie de Juillet en un temps où les problèmes d'adduction d'eau potable et d'hygiène publique se posaient avec acuité, à moins qu'il ne date du Premier Empire à l'exemple du Grand Puits de Vinax où celui-ci fut creusé en 1800. Ce puits, creusé au cœur du village, assurait la fourniture en eau d'une partie des habitants des Éduts. À ses côtés sont exposés des auges et des abreuvoirs pour le bétail qui revenait des champs[23].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Luc Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic - Collection Le Patrimoine des communes de France, tome 1, p. 122-123).
  • M.A. Gautier, Le dictionnaire des communes de la Charente-Maritime - Notices communales (réédition de la Statistique du département de la Charente-Inférieure de 1839), éditions Les chemins de la Mémoire, Saintes, p. 135.
  • Michel de la Torre, Charente-Maritime - L'art et la nature de ses 472 communes, éditions Nathan, Paris, 1985.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. le Bois de Chantemerlière s'étend sur le nord de la commune de Néré, le sud de la commune de Vinax et l'est de la commune de Contré dans lequel se situe le point culminant du département à 173 mètres.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime.
  2. Carte IGN sous Géoportail.
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune des Éduts », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune des Éduts », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. a et b Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, Saint-Jean-d'Angély, 2002, p. 120.
  21. a b c et d Jean-Yves Flohic, Le Patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2002, p. 122.
  22. « Église Saint-Révérend (ancienne) », notice no PA00104681, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. Jean-Yves Flohic, Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2002, p. 123.